Il nous a encouragées à persévérer dans notre mission auprès des jeunes en s’appuyant sur son exhortation apostoliques Christus vivit : «Je suis sûr que vous pouvez y trouver différents points en syntonie avec votre charisme et votre service éducatif».
En «se laissant interpeller par le Seigneur et par la réalité», les Filles de Marie Auxiliatrice pourront renouer avec les racines de leur charisme, malgré «les fragilités et les fatigues présentes dans les communautés». «L’incarnation dans l’histoire, l’immersion dans la condition humaine» est la voie à suivre, indiquée par le Concile Vatican II et par les Papes précédents. Cette démarche suppose «un solide enracinement dans le Christ», en collaborant «avec la créativité de l’Esprit Saint» qui «fait toutes choses nouvelles».
Valoriser les liens entre congrégations différentes
Il a invité les Capitulaires à valoriser, particulièrement, les relations intergénérationnelles et interculturelles, à vivre des «relations de réciprocité et de coresponsabilité» avec d’autres congrégations. C’est une façon de «vivre la synodalité» de façon concrète, et de former des «communautés missionnaires, en sortie, appelées à annoncer l’Évangile aux périphéries».
À l’approche du 150e anniversaire de l’Institut présent dans 97 pays, le Pape nous a invité à en faire «une opportunité de renouveau et de revitalisation vocationnelle et missionnaire». Comme Marie Auxiliatrice, les FMA sont invitées à être des «femmes d’espérance» avec les caractéristiques du style salésien : l’écoute, la présence active et l’amour pour les jeunes.